Les cris qui piquent

Les cris qui piquent

ou l’écrit qui pique, c’est comme vous voulez !

Depuis deux ans et demi, l’industrie pharmaceutique s’est ouvertement arrogée tous les pouvoirs, régnant sur des gouvernements déboussolés, des populations ayant perdu le sens commun, des médias primés pour leur médiocrité, des professionnels de santé discrédités par leur propension à manipuler les mensonges comme les certitudes. La crise covid a au moins le mérite de nous coller la réalité dans la face. L’industrie pharmaceutique a pris le pouvoir depuis bien longtemps et la santé est devenue une idée médicale! Dans le même temps, on nous vend une vie faite de bonheur en pilule, de disparition de la douleur et d’éternité. On nous vend de la perfection en tout et pour tout, comme si l’humain était soudain devenu maitre de l’Univers et du temps.

L’envers du tableau est beaucoup moins rose : les maladies et les malades n’ont jamais été aussi nombreux ; l’occident incarne le mal-être et le mal vivre. Le business de la santé est sans doute le marché le plus florissant, ce qui est un comble car nous vivons une époque de confort, d’hygiène, de progrès.

Il y a tellement de maladies ! Il est donc temps de se poser quelques questions. Les gens n’ont pas l’obligation d’être malades ! Tout le monde n’a pas besoin de finir avec des produits chimiques, même si tout est fait pour nous en persuader. Les fameuses “croyances” qui nous affligent, voir mon précédent billet, tout est lié.

La première chose à savoir, c’est que la santé physique et mentale, c’est personnel, et cela fait partie de la vie. On doit l’enseigner aux enfants dès leur plus jeune âge. Les animaux, les végétaux, le savent de manière innée mais nous avons besoin de l’apprendre, à moins que nous cessions d’enseigner aux enfants les dogmes, croyances et autres mensonges, qui nous ont condamnés à perdre notre autonomie et notre libre arbitre, au profit non pas de puissances occultes ou célestes mais de puissances économiques, géopolitiques, financières.

Enseigner ce qui est, c’est déjà un grand pas vers l’harmonie, l’équilibre et la santé, physique et mentale. Car si nous vivons perpétuellement dans le mensonge, le corps et l’esprit finissent par tomber malades, forcément. Prendre conscience de la réalité, c’est sans doute le plus court chemin vers un équilibre naturel en harmonie avec la nature qui nous a créés.

Si dès le plus jeune âge on apprend aux enfants à connaitre leur corps, l’origine des maux, et à comprendre les douleurs, ils deviendront solides physiquement et confiants mentalement. Le fait d’apprendre à vivre dans la réalité est un gage de santé, c’est certain. Si on les sculpte pour qu’ils entrent dans un moule afin de “vivre” dans une société qui nous a rendus malades, ils deviendront très vite compulsifs et bientôt malades.

La nature est là pour nous aider à vivre, à grandir, à nous soigner. Le corps n’est pas une chose qu’on remplit avec n’importe quoi. Ce n’est pas une chose dont on se sert et qu’on laisse dans un placard, comme un vieux balai. Le corps est notre ami pour la vie.

Bouger, c’est vivre.

Le maitre de Taïchi Qigong nous le répète dès qu’il peut le placer : bouger, c’est la vie, l’immobilité, c’est la mort. Si le médical est devenu essentiel, c’est parce que nous sommes sédentaires. Nous avons construit des modes de vie malsains. Or plus on utilise le corps, plus il est en santé, plus on vit, plus on est en bonne santé. Il y a 200 ans, on était 100 fois plus actifs, au même âge. Un jeune de 20 ans est aujourd’hui incapable de faire ce qu’un individu de 60 ans faisait il y a 100 ans !

Utiliser son corps, et lui s’occupe d’être en bonne santé. Si on bougeait suffisamment, sans chercher la performance, 80% des maladies disparaitraient. Mais chuuut, c’est péché que d’en parler.

Un corps qui bouge est un corps qui élimine, un corps qui s’harmonise, un corps qui s’équilibre. C’est un corps qui a faim, qui mange de bon appétit. Marcher, pour le plaisir, certes, pour méditer, pour garder son équilibre toute sa vie, pour être en bonne santé, physique et mentale. Vous voyez, ce n’est pas bien compliqué.

Tu creuses ta tombe avec tes dents.

Combien de fois a-ton entendu grand-mère faire ce reproche à grand-père ? 10% des maladies disparaitraient si on mangeait correctement. J’en ai déjà parlé et j’en parlerai encore, encore, et encore… Le corps nourrit la terre, la terre nourrit le corps. Si on inflige à la terre des combinaisons chimiques, le corps et la terre seront malades, déséquilibrés, agonisants. Si on inflige au corps des combinaisons chimiques, idem. Manger sainement, c’est aussi donner à la terre une matière organique saine. On le sait, malheureusement le sol se meurt par manque de matière organique. Aucun engrais chimique n’est capable de le nourrir comme ce qui est initialement prévu. Le corps, le sol, sont fait des mêmes matières. Ils ont les mêmes besoins. Une fois que vous avez bien saisi le concept, vous prendrez soin de votre corps, comme de votre jardin…

Pour être en bonne santé, vous l’aurez compris, il faut donc utiliser son corps, sa tête, ses énergies, créer ainsi un équilibre. Car tout réside dans l’équilibre. La vie est naturellement tournée vers la santé et le corps sait se régénérer. On peut donc conclure qu’être malade est dans la majorité des cas un choix….

A bientôt

Iza

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Cet article a 6 commentaires

  1. Mélanie Talcott

    Excellent article auquel je rajouterai une chose : l’industrie pharmaceutique capitalise sur notre “mauvaise” santé en provoquant des maladies induites par les médicaments qu’elle se propose de “soigner” avec de nouvelles molécules. Voir en ce moment toutes les recherches innovantes menées par Pfizer en relation avec la thérapie géniquee et ses conséquences.

    1. Iza Gisse

      oui, c’est sans fin. Il suffit de lire la liste des effets secondaires sur les notices des médicaments pour avoir la puce à l’oreille. La liste est tellement longue que tu pars en courant plutôt qu’avaler leur pilule. Mais les gens ne lisent pas les notices, ils ont fait don de leur corps à l’industrie pharmaceutique, et préfère lui “faire confiance” plutôt que s’impliquer. J’ai d’ailleurs écrit un article sur l’implication, une autre pièce du puzzle. A partir du moment où la publicité sur les médocs a été autorisée, tout est allé très vite. L’infantilisation, la déresponsabilisation, avaient déjà commencé bien avant. Nous en arrivons au stade de la perte d’identité, de la négation du genre, de l’éclatement de la cellule familiale. Plus les gens sont sédentaires, plus ils ont de temps libre, plus ils se perdent dans un monde virtuel sans existence véritable. L’avoir, la possession, ont balayé l’être. Dans l’avoir, le corps devient une marchandise, un outil, une machine dont ont peut changer les pièces, le sexe, l’apparence. Voir la chirurgie esthétique. A ce rythme l’humanité ne fera pas long feu.

    2. Iza Gisse

      d’ailleurs, c’est marrant, en ce moment, ils sont me semble-t-il en train de tester la soumission des gens vax. Presque chaque jour, ils te sortent dans les médias une nouvelle cause de crise cardiaque. Jardinage, être sarcastique, etc… vivre comporte le risque de mourir.

  2. Marie Fontaine

    Bouger, c’est vivre, et inversement, vivre c’est bouger, mais en ce moment, avec ces fortes chaleurs, ça devient difficile… Moi qui suis adepte des grandes randonnées, ça me frustre…
    “les maladies et les malades n’ont jamais été aussi nombreux”, d’accord avec toi, et je crois que ce n’est pas près de s’arrêter ; doucement mais sûrement ils amènent le principe du “one health” : sous couvert de bienveillance et de souci du vivant dans sa globalité, va savoir ce qu’ils chercheront encore à nous imposer pour leur seul profit…

    1. Iza Gisse

      bonjour Marie. En fait, en ce qui concerne “bouger” quand il fait très chaud, je viens de faire une découverte. On nous recommande de ne pas bouger, et effectivement les animaux se cachent aux heures chaudes de la journée. Cependant, il bouge beaucoup ensuite, soir, matin, nuit. Or, si je reste sans bouger comme conseillé, je supporte très mal la chaleur. Le sang circule mal et le coeur bat fort. Donc, je bouge quand même. Tôt e matin, je suis déjà au potager, et de plus en ce moment j’avais un gros travail de ramassage et transport de paille et compost. Donc je sue pas mal, je fais un paquet d’allers-retours avec la brouette. Bref, je bosse vraiment dur pendant au moins deux heures le matin,et je fais pareil le soir vers 19h, même s’il fait encore 36°. Le corps s’habitue vite et je dois dire que je me sens vraiment bien. Chaque fois, je vais me mettre sous la douche, des habits secs, et hop ! Il n’y a que l’après-midi où je ne fais rien.C’est là qu’on se rend compte à quel point la vie et le mouvement sont indissociables.

      1. Marie Fontaine

        Oui, je fais pareil et je remarque que je me porte bien mieux que beaucoup de personnes dans mon entourage.

Les commentaires sont fermés.